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Pour la tranquillité de chacun, merci de ne pas mettre directement le nom d’un établissement spécialisé.
Les dossiers de info-etablissementspecialises
Les pouvoirs publics et leurs propres dysfonctionnements.
Les insuffisances chroniques des pouvoirs publics sur l’aide à apporter aux établissements spécialisés sont, elles-mêmes, des dysfonctionnements importants au respect des droits des personnes handicapées.
Les dysfonctionnements notés dans ces structures, ne relèvent-elles pas à la base de ce constat ?
On finit par croire que cette incapacité est volontaire, tant elle dure, toute couleur politique confondue.
Comment s’étonner que des problèmes de maltraitance apparaissent tant les moyens financiers apportés ne permet pas de créer une politique du handicap tournée vers la bientraitance ?
Pas très intéressant, politiquement parlant, de développer une véritable politique ambitieuse du handicap, cela coûterait trop cher pour un rapport électoral insuffisant.
Notre société libérale met de côté les personnes handicapées et surtout les plus fragiles.
Cela fait des dizaines d’années qu’il manque des places d’accueil en France. Beaucoup d’enfants et adultes partent en Belgique. Les prises en charge dans les établissements spécialisés se détériorent d’année en année. Les salariés ne sont pas considérés et préfèrent changer de secteur.
Qui, un jour, prendra en considération cet état des lieux que chaque gouvernement délaisse et met de côté en prenant bien soin de préciser que ce n’est que partie remise… mais pour l’instant, il y a plus urgent à faire.
Alors, les familles se forceront à sourire tant la générosité de nos politiques est immense.
La révolte des parents grandit.
Pour la constitution de collectifs de parents, indépendants des associations gestionnaires, dans chaque département.
Les familles dénoncent le leurre de l’inclusion totale pour les plus handicapés qui laisse miroiter une place à chacun. En réalité, rapidement, nos enfants et adultes les plus handicapes se retrouvent mis de côté avec souvent un retour a la maison sans une véritable prise en charge.
Les pouvoirs publics veulent imposer l'illusion de l’inclusion totale. Ils feront ainsi de grandes économies.
Manque de solutions de prise en charge.
Désinstitutionalisation sans contenu à marche forcée.
Manque important de personnel, les parents sont inquiets pour l’avenir.
Que deviendront nos enfants et adultes après nous ?
Chaque jour, les parents sont présents, ils peuvent être fiers de ce qu’ils font pour leurs enfants et adultes.
VOTRE TÉMOIGNAGE. VOTRE QUESTION.
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Ecrivez-nous et mettez votre témoignage ou votre texte ici.
Nous vivons avec V, jeune d'adulte de 18 ans, handicapé. Il ne trouvera sans doute jamais de place en internat en France et nous sommes épuisés de nous en occuper. Nous cherchons une solution qui permettra à lui et nous de trouver une sérénité. Nous tentons de prendre contact avec des structures qui pourraient nous aider dans cette démarche. Nous sommes fatigués et sans espoir de trouver une vie plus calme.
V ne dort pas bien. Il est bruyant. Il n'est pas propre….
Nous ne pouvons pas vivre « normalement », sortir et faire des choses avec les autres enfants.
Nous sommes comme en prison chez nous et nous avons besoin de trouver une solution rapide et efficace.... Il faut toujours quelqu'un pour veiller sur lui, jour et nuit. Il faut toujours s’occuper de lui.
Nous ne faisons rien en famille. Nous ne partons pas en vacances et nous devons vivre à son rythme. Nous n'en pouvons plus!
Voici nos coordonnées pour échanger et tenter de trouver des idées constructives bien que nous n'ayons plus d'espoir.
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Je suis le parent d'une jeune femme de 22 ans accueilli en MAS, en région parisienne dans les Yvelines depuis 2 ans. Elle a un handicap psychomoteur grave. Tout contact passe par l'affectif.
Je vous contacte car l'établissement impose un nombre maximum de 45 jours par an pour les retours en famille. Sont inclus les weekends et les vacances.
C'est peu. Notre fille et nous-mêmes, avons besoin, a minima, d'un week-end sur deux et de 4 à 5 semaines de vacances. Le maintien du lien familial est essentiel pour ma fille et nous-mêmes.
Je ne veux pas entrer en litige avec la MAS pour des raisons évidentes.
Je souhaiterais poser quelques questions :
- une MAS a-t-elle le droit d'imposer un nombre de jours max de retour en famille ?
- ce nombre de jours maximum est fixé par qui et pour quelles raisons ?
- les retours du weekend sont-ils inclus ?
- comment peut-on négocier pour obtenir plus de jours de retours, et avec quels arguments (juridiques, légales ou autres) ?
Nous sommes prêts à payer le forfait journalier pour les jours de dépassement.
Cette règle qui nous semble arbitraire et ... oui, une limitation de la liberté d'aller, contraire au principe du maintien du lien familial.
Mettre ou ne pas mettre son enfant ou adulte en établissement spécialisé ? Pour autant, les familles qui sont amenées
à faire ce choix, doivent-elles culpabiliser ?
Voila bien un sujet délicat et sensible ou chacun devrait donner son avis en faisant attention de ne pas heurter la sensibilité de l’autre car il n’y a pas de vérité établie.
LIRE L'ARTICLE
Belgique : les temps difficiles continuent et s’aggravent. Les parents n’oublieront pas.
Envoyez vos témoignages anonymement ou non à notre site. Ils peuvent aider les autres familles.
On finit par oublier que les ESAT sont des établissements médico-sociaux !
Les travailleurs les « moins productifs » sont incités à changer d'orientation vers un Foyer de vie ou un Foyer occupationnel par exemple.
Pour le travailleur, c’est souvent vécu difficilement au début.
Pour les familles, cette « orientation » est considérée comme une exclusion.
Certaines familles ne souhaitent pas que leur enfant intègre un ESAT du fait de cette difficulté, les transports, l’hébergement et l’avenir en général car les parents vieillissent aussi.
Les ESAT ne remplissent plus pleinement leur rôle.
Peut-être ne sont-ils pas totalement fautifs mais on peut s’inquiéter légitimement.
Intégration des enfants handicapés en milieu scolaire
Juste revendication des parents d’enfants handicapés.
L’intégration doit être facilitée au mieux. C’est un droit et c’est légitime.
Doivent être aussi « travaillées » les passerelles entre l’école ordinaire et les établissements spécialisés. Lorsque le moment d’orientation arrive, le passage en établissement spécialisé ne doit pas considéré pleinement comme un recul mais comme une suite.
Faire en sorte que les établissements spécialisés permettent de conserver les acquis de l’école « ordinaire » et d’avancer.
Encore faut il qu’il y ait des places d’accueil pour tous.
Les textes présents sur cette page offrent un point de vue.
Concernant ce sujet sensible, chacun a le sien.
Si vous souhaitez, vous pouvez ici publier le vôtre avec votre signature.
A quoi sert le Défenseur des droits ?
Vous en avez marre des horaires que l’on vous impose
pour les retours en famille le weekend !
Vous en avez marre des décomptes pointilleux
des journées d’absences autorisés.
Ecrivez au Défenseur des Droits à Paris en allant sur son site : https://www.defenseurdesdroits.fr/ .
Les témoignages de Info-etablissementspecialises
Lire et écrire des témoignages.
Vous souhaitez dire ce que vous avez vécu. Vous souhaitez dire ce que l’arrivée du handicap dans votre famille a bouleversé. Vous ne pouvez pas faire autrement que de passer par une prise en charge dans un établissement spécialisé, vous souhaitez dire ce qui ne va pas mais, peut-être aussi, ce qui va. Vous souhaitez dire ce que vous ressentez. Nous avons tant à dire sur la prise en charge de nos enfants et adultes.
Lire la page
L’amendement CRETON date de 1989.
De nombreuses familles demandent le maintien, dans l'attente d'une solution adaptée pour leurs enfants devenus adultes handicapés, âgés de plus de vingt ans, dans les établissements médico-sociaux pour enfants handicapés qui les accueillent.
C’est l’illustration de la faillite morale des gouvernements qui se sont succédé depuis la création de l’amendement CRETON.
Les familles peuvent aussi percevoir voire ressentir une forme d’indifférence de celles et ceux qui nous gouvernent.
Le nombre de demandes d’application de l’amendement CRETON ne faiblit pas. Petit problème jamais corrigé, la durée de l’application de l’amendement Creton n’ai pas déterminée.
Et les polyhandicapés, on en parle quand ?
Pour qu’on en parle si peu, les parents de personnes polyhandicapées ne doivent pas "savoir s’y prendre ». C’est ce qu’on pourrait en déduire tant on parle de certains handicaps.
À force de cloisonner le monde du handicap, on oublie certaines personnes handicapées sur le passage. Ce sont les plus handicapés qui sont délaissés.
Il n’y a rien de plus redoutable que ce cloisonnement du handicap en « des handicaps ».
À chacun de se débrouiller.
Des promesses, des réponses à ceux qui arriveront à mobiliser, à accrocher » la presse.
Mais les autres…
Alors, à quand des annonces gouvernementales sur le polyhandicap ?
La page la plus lue de notre site :
« Arrêt de prise en charge par un établissement spécialisé »
Très inquiétant !
Que les MDPH fassent respecter la loi. Les établissements spécialisés « ne tournent » qu’avec l’argent de l’Etat et des collectivités. Et uniquement !
Je suis préoccupée par la situation de mon fils. Son établissement spécialisé a demandé une rupture d’accompagnement sans avoir d’autre alternative à nous proposer.
Voir la page
Français handicapés en Belgique par manque de places d'accueil dans notre pays.
Enfants et adultes sont concernés.
Pour accorder une orientation en Belgique, plusieurs MDPH demandent aux familles la preuve de 3 ou 4 refus d’accueil d’établissements français.
Deux MDPH, maintenant, osent demander la preuve de 5 refus d’accueil en France.
Plusieurs témoignages
Nous avons constitué un comité de parents afin de défendre nos enfants devant ce qui nous semble une nette diminution de la qualité de leur prise en charge. Le CA agit de façon peu claire. Il a placé un directeur administratif pour, sans aucune "sensibilité" vis-à-vis du handicap et des "êtres humains" dont il a la charge nous faisant suspecter une manigance budgétaire que nous ne comprenons pas bien. Pour nos démarches, pouvons-nous nous recommander de vous ?
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Je voulais savoir si un directeur d'établissement peut décider seul de renvoyer une personne accueillie dans sa structure. On m'a dit que le retrait voulu par les parents ou par le directeur doit être validé par la maison départementale des personnes handicapées (MDPH). Celle-ci adresse une notification officielle, c'est-à-dire un courrier à son en-tête, à la famille (ou directement à l'intéressé) ainsi qu'au directeur de l'établissement. Qu'en pensez-vous ?
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Dans la M.A.S. de V. où se trouve ma fille, les aides soignants nous contestent le droit d'accès à sa chambre, parce que on "perturbe les autres résidents" ce qui est totalement faux. On ne fait que passer par le lieu de vie, n'ayant pas d'autre itinéraire. De plus, nous téléphonons avant notre visite hebdomadaire. Je considère cette obstruction comme une atteinte aux droits des malades, en contradiction avec les chartes légales qui devraient entre nous être plus explicites et désigner cette interdiction et d’autres comme illégales.
Nous avons remis une lettre au directeur de la M.A.S pour défendre explicitement le droit d'accès aux chambres de nos enfants, droit qui est d'ailleurs inscrit dans le règlement intérieur…mais limité aux retours de sorties... Il faut faire savoir que le nombre de jours de sorties est sous la menace de restriction, ce qui constitue pour les polyhandicapés lourds une privation des soins donnés à l'initiative des parents. La réduction des sorties provoque ainsi une atteinte au droit d'accès aux soins.
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Lorsque j'accompagne ma fille à l'internat, ou que j'aille la chercher, je n'ai pas le droit de l'accompagner jusqu'à sa chambre.....Aberrant, frustrant ...Peut être aurons nous la possibilité de dialoguer de tout ceci..
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Je vous contacte afin de savoir quels sont les droits d'un adulte de 38 ans, handicapé lourd, qui est dans un établissement depuis 21 ans. Son établissement refuse aujourd'hui d'accepter de le garder car d'après eux son comportement s'est fortement détérioré. Ils veulent à tout pris que sa maman le fasse admettre en hôpital psy, Cette M.A.S. est sa maison, il a dû être hospitalisé. Il a ses repères et il serait trop déstabilisé ailleurs. Personne n'en veut dans cet établissement, il est maltraité, faute de personnel, et vraiment, pouvez-vous me dire quel est le recours possible et que faire. La DASS, l'a placé là et maintenant ils font tout pour le faire partir parce qu'ils ne le supportent plus. Merci de bien vouloir m'indiquer la marche à suivre pour aider à sauvegarder les droits de cet adulte et malade.
Les maisons d'accueil spécialisé. (MAS)
Les Maisons d'Accueil Spécialisé ont pout mission d'accueillir, sur décision de la MDPH des personnes adultes handicapées (handicap mental ou moteur).
Le handicap des personnes accueillies fait qu'elles sont incapables de se suffire à elles-mêmes dans les actes essentiels de la vie. De ce fait, elles sont tributaires…..
Foyer de vie
Foyers d’hébergement pour les travailleurs handicapés.
Foyer occupationnel
Foyer d’accueil médicalisé (FAM)
Le service de proximité ou l’habitat regroupé
Le service d’accompagnement médico-social pour adultes handicapés (SAMSAH)
Soupçons de maltraitance, que faire?
Si la personne concernée est dans un établissement d'accueil, il vaut mieux, avant d'entreprendre toute initiative, de se concerter avec les autres parents afin de recouper et regrouper les éléments des uns et des autres. Ensuite, il est nécessaire d'alerter le Conseil de Vie Social (CVS), le Président de l'association et la DDASS du département où se trouve l'établissement.
Le nouveau code pénal permet au médecin traitant de révéler des faits de maltraitance pour vulnérabilité.
S'il existe des soupçons de malversations financières, c'est le juge des tutelles ou le procureur de la République qui doit être saisi.
Si la personne concernée est à domicile, il faut d'abord en parler à l'entourage pour constater si les soupçons sont partagés.
No national : 3977
Après 60 ans, quel avenir ?
Bien souvent, le temps passant, ce sont les frères et les sœurs du résident d’un établissement spécialisé depuis de nombreuses années qui sont confrontés à ce problème.
De plus en plus, des directions d’établissements proposent, suggèrent, pour l’instant avec précaution, le départ du résident, trop âgé, en EHPAD.
Les EHPAD n’ont pas de personnel formé aux problèmes du handicap. Il n’existe pas d’unités spécialisées. Pas pour l’instant du moins.
Celles et ceux qui partent en EHPAD le font contraints et forcés. Ce n’est pas, pour une grande majorité, ce qu’ils souhaitaient.
L’établissement, le Foyer, la Maison spécialisée, sont devenus au fil des années leur lieu avec leurs points de repère. C’est leur deuxième maison après celle des parents, mais les parents ne sont plus toujours là pour les accompagner.
Pour nous, parents, une étape importante dans la vie de notre enfant ! Etape essentielle dans la vie de tout enfant handicapé mental qui devient adulte, la tutelle et la curatelle sont un passage obligatoire pour les parents. Même si le jeune handicapé, à l'âge de 18 ans, n'est pas du tout autonome et, de ce fait, incapable d'avoir la maitrise de sa vie, les parents perdent tout contrôle, au regard de la loi, sur leur enfant.
Tant que tout va bien, l'avis sera demandé aux parents concernant l'avenir du jeune adulte handicapé. En cas de désaccord avec, par exemple, le centre qui l'accueille sur des décisions d'orientation ou médicales, les parents qui n'auraient pas fait une demande de tutelle, peuvent théoriquement s'entendre dire qu' "on n'a pas besoin de leur avis puisque leur enfant est majeur".....
Peut-on travailler et percevoir l’allocation aux adultes handicapés (AAH) ?
L'allocation aux adultes handicapés (AAH)
AEEH ou PCH
LA PRESTATION DE COMPENSATION DU HANDICAP (P.C.H.)
AEEH (ALLOCATION D'ÉDUCATION DE L'ENFANT HANDICAPÉ)
Aide à l'acquisition d'une complémentaire santé
OBTENIR L'AIDE D'UNE TIERCE PERSONNE.
Lire à la page : La vie dans les établissements spécialisés.
Zéro sans solutions faut-il y croire ?
Tutelles, pour une dispense des contrôles de dépenses.
Pour un contrôle renforcé de l’Etat sur les établissements spécialisés
L’accueil temporaire
Taux d’encadrement. Le compte n’y est pas
Pour des modalités d’admission identiques dans tous les établissements
Et si les parents arrêtaient de s’estimer fautifs des troubles du comportement de leur enfant !
Inégalité des prix de journées dans les établissements
Difficultés pour les retours en famille
Le domicile de secours
La carte mobilité inclusion
Droits et choix de l’usager
Création d’amicales de parents
La solitude des familles
L'accès des parents dans les établissements
A quoi sert un projet associatif ?
Questions pour une entrée en établissement
Lire à la page : Etablissements spécialisés Informations pratiques
Etre assisté par une personne de son choix
Emplacements de stationnement
Parents avantages pour le calcul de leur retraite.
Intérêts du livret A pour le calcul de l’AAH
S’assurer en responsabilité civile pour un adulte handicapé.
Articles sur le transport vers les établissements
Un abattement de 10 % sur la valeur locative moyenne des habitations.
Questions sur la nouvelle législation
Impôt sur le revenu.
Pour un droit de regard de l’Etat sur l’admission des résidents .
Personnes handicapées vieillissantes
faire des économies par l'orientation
Comment sont financés les établissements
ANESM
La désinstitutionalisation des enfants et des adultes handicapés
au sein de la collectivité fait son chemin